Re: Camp des Révolutionnaires

par Lou-a-nna Dim 23 Fév - 10:50

Elle soupira.

- À peine née, mes parents m'ont abandonnées, ma grand-mère m'a recueillie, mais sans plus. Au final, j'ai vécu dans la rue, joooooie, tu me diras. Idem niveau ami ou relation amoureuse. J'ai davantage l'impression qu'être qu'un vieux chiffon qu'on jette lorsque l'on en a plus besoin qu'une humaine. C'est tout aussi bête. Mais je déteste l'idée de voir quelqu'un partir, même si cette personne, je viens tout juste de la rencontrer.

par **Blaz** Dim 23 Fév - 10:53

-Je comprends. Mais nous ne nous connaissons pas. Je t'ai juste sauvé une fois, tu m'as sauvé une fois et on s'est pris une petite dizaine de flèche, on est tombé une bonne trentaine de fois, et surtout, on a couru à perdre le souffle pour l'éternité. Mais ça s'arrête là. Je dois partir. Que tu le veuilles, ou non. Je suis désolé pour tes parents. Une seule chsoe nous rassemble : le manque d'amour par des parents.

par Lou-a-nna Dim 23 Fév - 10:55

«Non, tu ne comprends rien. Rien du tout»
Elle s'écarta finalement.
Encore un abandon...

par **Blaz** Dim 23 Fév - 10:58

-Que puis-je dire...Je reviendrai...Je te le promets...Tu ne peux pas me sui...

Pour la troisième fois de la journée, Calogero fut interrompu.
Une trentaine de soldats apparurent dans la petite "rue".

-Cours !

Il prit la main de Leïla et se mit à courir.

par Lou-a-nna Dim 23 Fév - 11:00

Quoi ? Comment ? Ou plutôt qui ? Cet endroit, personne ne le connaissait. Il était isolé de tout.
Elle lâcha la main de Calogero.

- Je ne peux pas... la laisser là.

Elle pointa la petite demeure.

par **Blaz** Dim 23 Fév - 11:05

-Va la chercher, je t'attends ici. Mais dépêche-toi.

Il s'assit à l'ombre d'une petite habitation.
Trois soldats l'encerclèrent.

-Oh, bonjour à vous.
-Ne plaisante pas, révolutionnaire. Tu vas aller au cachot.
-Ça dépend...C'est chauffé ?
-Très drôle. Lève-toi.
-Je ne crois pas.

Il mit un coup de pied au hasard et atteint le buste du soldat, qui tomba en arrière.
Aussitôt, coups de poings et coups de pieds furent de mises pour Calogero.

par Lou-a-nna Dim 23 Fév - 11:08

Leïla se dépêcha, comme il avait dit. Un soldat la suivit.
Elle leva les yeux au ciel, lui assenant un coup de pied. Rien de bien méchant.
Arriver dans sa petite demeure, sa grand-mère était bien là, mais vide de toute vie.
Leïla hurla.

par **Blaz** Dim 23 Fév - 11:10

Calogero entendit un cri strident.
Il se dépêcha de mettre hors d'état de nuire les trois soldats et se précipita à l'intérieur.
Il rentra à toute allure et fut stoppé par une vue affreuse.
La grand-mère de Leïla était par terre, sans vie.

-Oh non...Je suis désolé.

Il se rapprocha d'elle et l'enlaça.

par Lou-a-nna Dim 23 Fév - 11:16

Elle le laissa faire, trop dévastée pour s'écarter des bras de Calogero.
C'était sa grand-mère
Elle ne l'avait jamais aimé, certes.
Mais pour Leïla, même si elle n'avait jamais reçu d'amour de sa part, elle ne voulait pas la voir mourir. Mais vivre. Même si c'est pour être renié.

par **Blaz** Dim 23 Fév - 11:19

-Je suis sincèrement désolé...Tu veux qu'on parte tout de suite ?

Il remarqua les larmes de son amie et s'approcha d'elle, murmurant dans son oreille.

-Je suis désolé. Mais...je t'aime...je crois...je suis perdu...

(NIIIIIAIS)

par Lou-a-nna Dim 23 Fév - 11:24

«Comme si quelqu'un pouvait m'aimer. Et, mon cher Calo, je ne crois pas au coup de foudre.»

- Partons... se contenta-t-elle de répondre.

(gâcheeeeeeuse d'ambiaaaaaaaaance ♪)

par **Blaz** Dim 23 Fév - 11:26

(Ouiiii, à bas le niais Calo : Noooon ! TwT)

-Tout à fait. A Ilès.

-Calogero et Lou-a-nna ont quitté le Camp des Révolutionnaires pour aller à la Ville d'Ilès-

par Lou-a-nna Dim 23 Fév - 11:29

(MOUAHAHAHAHA)

- Oui...

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